Les lois de l’industrie pharmaceutique.

 

Des lois que vous ne trouverez évidemment jamais dans les statuts officiels du lobby pharma, mais qui sont pourtant … « tellement vraies » !

Je vous livre le texte tel que je l’ai lu chez Dav…

Un beau résumé de ce que nous voyons dans notre quotidien, quoi qu’en pensent les trolls[1] de tout poil.

Bonne lecture !

 

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Il n’est pas dans l’intérêt financier de l’industrie pharmaceutique de prévenir les maladies courantes – la maintenance et l’expansion des maladies est une pré-condition à la croissance financière de cette industrie.

 

– 1 –

L’industrie pharmaceutique est une industrie d’investissement dirigée par les profits de ses actionnaires. Améliorer la santé humaine n’est pas la ligne directrice de cette économie.

 

– 2 –

L’industrie de l’investissement pharmaceutique a été artificiellement créée et stratégiquement développée sur une période d’un siècle entier, par les mêmes groupes d’investissement qui contrôlent globalement les industries pétrochimiques et chimiques.

 

– 3 –

Les énormes profits de l’industrie pharmaceutique sont basés sur la mise sous brevets des nouveaux médicaments. Ces brevets permettent essentiellement aux manufacturiers de médicaments de définir de façon arbitraire les profits pour leurs produits.

 

– 4 –

Le « marché » de l’industrie pharmaceutique est le corps humain – mais seulement tant et aussi longtemps que le corps est porteur de maladies. Ainsi, maintenir et faire progresser les maladies est une pré-condition à la croissance de l’industrie pharmaceutique.

 

– 5 –

Une stratégie clé pour accomplir ce but est le développement de médicaments qui ne font que masquer les symptômes tout en évitant la guérison ou l’élimination des maladies. Ceci explique pourquoi la plupart des médicaments sous prescriptions mis sur le marché de nos jours n’ont pas d’efficacité prouvée mais simplement des symptômes cibles.

 

– 6 –

Pour étendre davantage leur marché pharmaceutique, les compagnies de médicaments sont continuellement à la recherche de novelles applications (posologies) pour l’utilisation de médicaments qu’ils commercialisent déjà. Par exemple, les pilules pour la douleur Aspirine de Bayer sont maintenant consommées par 50 millions de citoyens Américains en santé, sous l’illusion que cela préviendra les attaques cardiaques.

 

– 7 –

Une autre stratégie clé pour étendre les marchés pharmaceutiques est de causer de nouvelles maladies avec les médicaments. Tout en masquant simplement les symptômes à court terme, la plupart des médicaments pris par des millions de personnes de nos jours causent une multitude de nouvelles maladies qui résultent de leurs effets secondaires à long terme, d’ailleurs connus. Par exemple, tous les médicaments réduisant le taux de cholestérol actuellement sur le marché sont reconnus pour augmenter le risque de développement du cancer – mais seulement après que le patient ait consommé le médicament pendant plusieurs années.

 

– 8 –

Les effets secondaires connus et mortels des médicaments sous prescriptions sont la quatrième cause principale de décès dans le monde industrialisé, surpassés seulement par le nombre de décès dus à des crises cardiaques, des cancers, et des embolies (Journal de l’Association Médicale Américaine, 15 avril 1998). Ce fait n’est pas surprenant non plus, puisque les brevets sur les médicaments sont émis d’emblée pour les nouvelles molécules synthétiques. Toutes les molécules synthétiques ont besoin d’être détoxifiées et éliminées du corps, un phénomène qui échoue fréquemment et résulte en une épidémie d’effets secondaires sévères et mortels.

 

– 9 –

Alors que la promotion et l’expansion des maladies fait augmenter le marché de l’industrie de l’investissement pharmaceutique – la prévention et le traitement des maladies à la racine diminuent la rentabilité à long terme; par conséquent, ces derniers sont évités ou même souvent obstrués par cette industrie.

 

– 10 –

Pire encore, l’éradication des maladies est dans sa nature même incompatible avec, et diamétralement opposée, aux intérêts de l’industrie de l’investissement pharmaceutique. L’éradication de maladies maintenant considérées comme des marchés pharmaceutiques détruirait des investissements de milliards de dollars et éliminerait éventuellement cette industrie entière.

 

– 11 –

Les vitamines et d’autres thérapies de santé naturelles et efficaces qui optimisent le métabolisme cellulaire menacent les « affaires » que l’industrie pharmaceutique fait avec les maladies puisqu’elles ciblent la cause cellulaire de la plupart des maladies communes d’aujourd’hui – et ces substances naturelles ne peuvent être brevetées.

 

– 12 –

Au cours des plus de cent ans d’existence de l’industrie pharmaceutique, les vitamines et les autres éléments nutritifs essentiels, avec des fonctions définies comme co-facteurs du métabolisme cellulaire, ont été les plus solides compétiteurs et la plus grande menace au succès à long terme de l’industrie de l’investissement pharmaceutique.

 

– 13 –

Les vitamines et d’autres thérapies de santé naturelles qui préviennent efficacement les maladies sont incompatibles avec la nature même des « affaires des maladies ».

 

– 14 –

Pour protéger les développements stratégiques de son entreprise d’investissement contre les menaces des thérapies naturelles, efficaces, et non brevetables, l’industrie pharmaceutique a – au cours d’une siècle entier – utilisé les méthodes les moins scrupuleuses, telles que :

(1) Rétention d’informations de santé qui auraient pu sauver la vie à des millions de gens. Il est simplement inacceptable qu’aujourd’hui si peu de gens savent que le corps humain ne peut pas produire de vitamine C et de Lysine, deux molécules clé pour la stabilité des tissus connectifs et la prévention des maladies.

(2) Discréditer les thérapies naturelles. La façon la plus commune est à travers les campagnes de relations publiques globales, organisées par le cartel pharmaceutique, qui répandent des mensonges sur les soi-disant effets secondaires des substances naturelles – des molécules qui ont été utilisées par la nature depuis des millénaires.

(3) Bannir par la loi la dissémination d’informations sur les thérapies de santé naturelles. À cette fin, l’industrie pharmaceutique a placé ses lobbyistes dans des positions politiques clés dans les marchés principaux et les nations en tête des exportations de médicaments.

 

– 15 –

Les « affaires » pharmaceutiques sont la pire arnaque et fraude commerciale dans l’histoire humaine. Le produit « la santé » promis par les compagnies de médicaments n’est pas livré à des millions de patients. À la place, les « produits » les plus souvent livrés sont l’opposé : de nouvelles maladies et des morts fréquentes.

 

– 16 –

La survie de l’industrie pharmaceutique est dépendante de l’élimination de toute méthode de thérapie naturelle efficace. Ces thérapies naturelles et non brevetables sont devenues le traitement choisi par des millions de gens en dépit des oppositions économiques, politiques et médiatiques combinées de la plus grande industrie d’investissement au monde..

 

The Laws of the Pharmaceutical Industry

Dr. Rath, Dr Rath Health Foundation, 2003

 

Source : Advanced Health Plan http://www.advancedhealthplan.com

Traduction : Évolution Québec

© 2000-2006, Évolution Québec

Toute reproduction autorisée

 

 

 


[1] En parlant de trolls… Note pour le troll de service : ô esclave servile de l’industrie pharmaceutique, inutile de transmettre ceci à tes seigneurs et maîtres de chez Sanofi : ils sont déjà au courant…

 

 

 

17 réflexions sur “Les lois de l’industrie pharmaceutique.

  1. et bien au moins là, les choses sont dites sans détour, une industrie qui a de l’ avenir, puisqu’ on ne manquera jamais de corps !
    bon dimanche
    amitié

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    • Oui, tant que les moutons se laisseront faire en s’inclinant bien bas tout en marmonnant des « oui monsieur le pharmacien, à vos ordres monsieur le pharmacien », effectivement, ce sera une industrie d’avenir…
      Un bien triste avenir.
      Le problème (pour Big Pharma), c’est que de plus en plus de gens se rendent compte qu’ils se font b…iaiser ! Alors, pour le moment, le public (celui qui n’est pas hypocondriaque) se tourne de plus en plus vers les vraies médecines respectueuses du corps humain tout en acceptant encore de consommer des saletés chimiques quand ils pensent que c’est indispensable pour leur vie… Mais combien de temps faudra-t-il encore pour que ledit public se rende compte que, même pour des « vilaines maladies », les médecines naturelles peuvent aider à guérir, alors que la médecine officielle préfère mettre des emplâtres bien chers sur des jambes de bois ?

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    • Mais bien réel.
      Je connais quelqu’un (quelqu’un qui travaillait dans le secteur pharmaceutique, et nettement mieux placé que mon vantard de troll quant aux connaissances en la matière) qui a un jour répondu, à la question de savoir comment il se faisait qu’après tant d’années à faire des recherches sur le cancer, aucun véritable médicament n’existait encore pour éradiquer cette saleté de maladie, par une autre question : « tu veux nous mettre tous au chômage ? »…
      Voici quelques années, mon troll – toujours lui – se vantait d’être un « professionnel de la santé » parce qu’il avait bossé (à remplir des cuves) dans une industrie pharmaceutique. Il a été vexé quand je lui ai répondu que les travailleurs du milieu pharmaceutique étaient des professionnels de la maladie, et certainement pas de la santé. Et c’est la triste réalité ! Il leur faut des malades et des maladies pour gagner leur vie ! S’ils guérissaient les gens, ils scieraient la branche sur laquelle ils sont assis ! Chez nous, un médecin ou un pharmacien ne peut vivre (économiquement parlant) que s’ils ne guérissent pas les malades !
      C’est d’ailleurs pour cela qu’ils sont si « hargneux » vis-à-vis des médecines non-conventionnelles, qui, elles, soignent les causes de la maladie, et ne se contentent pas de cacher des symptômes pour garder les clients sous la coupe des médecins et des pharmaciens !
      Jusqu’il n’y a guère (disons un siècle), les médecins et les pharmaciens suivaient la doctrine d’Hippocrate, qu’ils considéraient comme le « père de la médecine moderne ». Le pauvre Hippocrate doit se retourner dans sa tombe en voyant ce que ces criminels ont fait de ses principes !
      D’abord ne pas nuire ? Tu parles ! Même l’OMS avoue que les 75% des maladies sont causées par la médecine elle-même !
      Découvrir et traiter la cause ? Surtout pas, « ils » perdraient des clients, et donc de l’argent !
      Utiliser la Nature à bon escient pour soigner ? Surtout pas non plus, les malades pourraient guérir, et « ils » perdraient des clients !
      Enseigner au malade à se gérer lui-même ? Et quoi encore ? Au contraire, il faut « fidéliser » le client pour qu’il revienne le plus souvent possible ! Si possible une fois par mois, quand il a reçu son salaire ou ses allocations !
      L’ordre des médecins est tellement conscient de ce qu’ils ont fait de la médecine hippocratique que, maintenant, les médecins conventionnels ne prêtent même plus le serment qui porte son nom ! C’est dire…

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  2. Merci pour cet article très éclairant et bien écrit. Je vais l’envoyer à un de mes amis médecin en autres. J’arrive à soigner toutes mes maladies même celles jugées incurables par les médecins. Sauf une….. l’hypothyroïdie…. pas trouvé à ce jour de substitut valable à l’hormone de synthèse. Si, par miracle, vous avez une solution, je suis preneuse ? Merci !
    Bonne soirée !

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    • Non, je ne connais pas de substituts aux hormones.
      Mais…
      Peut-être y a-t-il, sans nécessairement avaler une hormone ou un substitut, moyen de soigner la cause ?
      Pour les problèmes de thyroïde (hypo, hyper, et nodules), il y a l’aneth qui donne de bons résultats.
      Le bête « Anethum graveolens »… Celui qu’on trouve chez le marchand de légumes.
      Il ne remplace pas l’hormone, mais il a apparemment un effet régulateur de la thyroïde, aussi bien vers le haut que vers le bas.
      Mâchouiller une cuillère à soupe de feuilles fraîches un quart d’heure avant chaque repas, puis avaler avec un verre d’eau.
      À faire en cure de trois mois. Renouveler si nécessaire.
      Et ne pas avoir peur, à la moitié de la cure, de demander une analyse de sang à son toubib pour vérifier si ça fonctionne… Ce serait bête de continuer à prendre une dose entière de médicament (le médoc du pharmacien), si une demi-dose suffit déjà au bout d’un ou deux mois.
      Statistiquement parlant, il semblerait qu’après cinq mois de trois fois (matin, midi, soir) une cuillère à soupe d’aneth chaque jour, il y aurait eu 90% des malades qui auraient vu leur taux d’hormone redevenus normaux…
      Ça, c’est pour tous les problèmes de thyroïde…

      L’hypothyroïdie, maintenant…
      Si l’hypothyroïdie est accompagnée d’une carence en fer, supplémenter (naturellement) en fer n’est pas une mauvaise idée.
      Voir également au niveau du magnésium. On en manque généralement.
      Et du zinc. Souvent aussi en manque.
      Ainsi que de l’iode (saupoudrer des algues sur certains plats n’est pas une mauvaise idée). Il stimule le travail de la thyroïde.
      Et en parlant d’iode, ça me fait penser que le sérum de Quinton (j’en parlais voici quelques semaines) pourrait être utile en cure de trois semaines.
      Drainer le foie. Avec des tisanes, des compléments alimentaires, des légumes amers, … Une cure de trois mois n’est généralement pas de trop.
      Prendre de la racine de ginseng (mais attention : le vrai ginseng, pas un machin à trois franc six sous !). Une cure de trois semaines…
      Réglage alimentaire 60.20.20. Et ça, c’est plutôt à vie…
      Il y a quelques aliments à privilégier, et quelques aliments à éviter.
      À privilégier : ail, oignon, romarin et produits marins riches en iode (des algues, j’en parlais ci-dessus, mais aussi des crustacés). Attention que le romarin et les algues sont à limiter en cas d’hypertension :pas chaque jour. Manger des noix, des amandes, des avocats et des bananes peut aussi faire partie d’une alimentation pour réveiller la thyroïde.
      À grignoter régulièrement (dans les salades, par exemple, ou au goûter), des graines de potiron (bourrées de zinc, mais aussi de sélénium et de tyrosine, tous les deux bien utiles à la thyroïde, et c’est amusant de les consommer en graines qu’en gélules). À la limite, on pourrait presque conseiller une cure de graines de potiron !
      À éviter, du moins temporairement, jusqu’à ce que la thyroïde reprenne son activité normale, puis en manger « un peu, mais raisonnablement » : les aliments (et médicaments) « goitrogènes », qui freinent le travail de la thyroïde. Le tabagisme aussi participe à ce « frein »… Il s’agit des crucifères (les choux), mais aussi de certaines plantes comme le manioc, le soja, les cacahuètes, ou encore les patates douces et les radis. Ou alors, bien cuits, pour neutraliser les substances goitrogènes de ces aliments. Le radis cuit, faut aimer… Perso, je n’aime pas…
      À éviter aussi : les excitants (généralement des boissons : café, coca, …), les graisses, les sucres (sucre, pain, pommes de terre, …), les viandes rôties (et les gibiers), les fromages-qui-puent (bien faits, quoi), la charcutaille… Bref, il faut aider le foie à se « détoxifier »…
      Consommer de la Vitamine B6 peut aussi aider.
      En homéopathie, je pense qu’il y a Thyroidea, en 4, 5 ou 7 CH, en looooongues cures (mais mieux vaut demander conseil à un homéopathe, parce que l’organothérapie – une branche de l’homéo – ce n’est pas vraiment ma spécialité).
      Bonne chasse à la paresse de la thyroïde !

      😉

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      • J’ai oublié une question. J’adore la choucroute que je fais moi-même avec mes choux bio du potager. Est-elle également « goitrogène » ?
        Merci !
        Josi

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        • Hé bien, la choucroute crue, oui, mais la cuite a vu ses thiocyanates neutralisés par la cuisson.
          En outre, si c’est du bio, il a nettement moins de saletés chimiques qui, eux aussi, travaillent sur le thyroïde…
          Bon appétit !

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  3. La France est décidément le paradis pour les entreprises pharmaceutique. Le plus terrifiant c’est lorsqu’on distingue que ces industries inventent de nouveaux noms de maladies pour vendre de nouveaux médicaments.

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  4. Ce n’est pas l’industrie pharmaceutique proprement (enfin, « proprement », c’est façon de parler)… proprement dite, mais comme c’est une industrie qui, elle aussi, nous empoisonne, autant leur rendre hommage :

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  5. Bonsoir,
    Mille mercis pour tous les bons conseils pour soigner l’hypothyroïdie. Je connaissais certains mais de loin pas tous. Je vais donc expérimenter tout cela et vous tiendrai au courant.
    Très gentil à vous d’avoir pris le temps de répondre de manière si exhaustive.
    Bien à vous
    Josi

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  6. Ave Eric,

    Tu sais ce qui m’inquiète le + dans ces « révélations » ? C’est qu’elles datent de 2003, traduites en 2006.

    Nous sommes 8 ans + tard, on peut imaginer les progrès qu’ils ont fait sur la voie de ces « lois » établies uniquement pour engraisser les investisseurs de ces industries…

    Et on voudrait que nos politiques dirigent nos états… Ils n’en ont pas les moyens, ils sont bouffés avant d’être élus, euh… lorsqu’ils sont intègres, bien sûr.

    Bon, bin, à bientôt et merci pour cet article que je socialise…

    Amitiés,

    Jean-Louis

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